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Gabrielle.
Voilà tout. — Mais, pour Dieu ! ne brisez pas ma chaise.
Stéphane.
Ainsi par vous déjà tout est mis en oubli ?
Gabrielle.
Le roman promettait de devenir joli,
C’est vrai ; mais, quand soudain la réalité passe,
Ces petits romans-là doivent lui faire place.
Stéphane.
Je suis émerveillé de tout ce que j’entends,
Madame ! je n’étais pour vous qu’un passe-temps ?
Ôtant la rose de sa boutonnière.
Adieu donc, pauvre fleur ! va, que le vent t’emporte
Avec le souvenir de ma tendresse morte.
Je fais de mon amour comme de ce bouquet.
Il jette la rose.
Gabrielle, à part.
Adrienne — Il est temps ! la force me manquait.
Scène VII
GABRIELLE, ADRIENNE, STÉPHANE.
Stéphane, à Adrienne.
Venez, venez, madame, apprendre une nouvelle
Qui vous étonnera peut-être.