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TABLE DES MATIÈRES.


Chap. XLVI. Naissance du Sauveur et dispersion des Juifs par toute la terre.
XLVII. Si, avant l’incarnation de Jésus-Christ, d’autres que les Juifs ont appartenu à la Jérusalem céleste.
XLVIII. La prophétie d’Aggée touchant la seconde maison de Dieu, qui doit être plus illustre que la première, ne doit pas s’entendre du temple de Jérusalem, mais de l’Église.
XLIX. Les élus et les réprouvés sont mêlés ensemble icibas.
L. De la prédication de l’Évangile, devenue plus éclatante et plus efficace par la passion de ceux qui l’annonçaient.
LI. Les hérétiques sont utiles à l’Église.
LII. S’il n’y aura point de persécution contre l’Église jusqu’à l’Antéchrist.
LIII. On ne sait point quand la dernière persécution du monde arrivera.
LIV. De ce mensonge des païens, que le christianisme ne devait durer que trois cent soixante-cinq ans.
Chapitre premier. Il peut y avoir, selon Varron, deux cent quatre-vingt-huit systèmes philosophiques touchant le souverain bien.
II. Comment Varron réduit toutes ces sectes à trois, parmi lesquelles il faut choisir la bonne.
III. Quel est, entre les trois systèmes sur le souverain bien, celui qu’il faut préférer, selon Varron, qui se déclare disciple d’Antiochus et de l’ancienne Académie.
IV. Ce que pensent les chrétiens sur le souverain bien, contre les philosophes qui ont cru le trouver en eux-mêmes.
V. De la vie sociale et des maux qui la traversent, toute désirable qu’elle soit en elle-même.
VI. De l’erreur des jugements humains, quand la vérité est cachée.
VII. De la diversité des langues qui rompt la société des hommes, et de la misère des guerres, même les plus justes.
VIII. Il ne peut y avoir pleine sécurité, même dans l’amitié des honnêtes gens, à cause des dangers dont la vie humaine est toujours menacée.
IX. Nous ne pouvons être assurés en cette vie de l’amitié des saints anges, à cause de la fourberie des démons, qui ont su prendre dans leurs pièges les adorateurs des faux dieux.
X. Quelle récompense est préparée aux saints qui ont surmonté les tentations de cette vie.
XI. Du bonheur de la paix éternelle, fin suprême et véritable perfection des saints.
XII. Que les agitations des hommes et la guerre elle-même tendent à la paix, terme nécessaire où aspirent tous les êtres.
XIII. La paix universelle, fondée sur les lois de la nature, ne peut être détruite par les plus violentes passions, le juge équitable et souverain faisant parvenir chacun à la condition qu’il a méritée.
XIV. De l’ordre à la fois divin et terrestre qui fait que les maîtres de la société humaine en sont aussi les serviteurs.
XV. La première cause de la servitude, c’est le péché, et l’homme, naturellement libre, devient, par sa mauvaise volonté, esclave de ses passions, alors même qu’il n’est pas dans l’esclavage d’autrui.
XVI. De la juste damnation.
XVII. D’où viennent la paix et la discorde entre la cité du ciel et celle de la terre.
XVIII. Combien la foi inébranlable du chrétien diffère des incertitudes de la nouvelle Académie.
XIX. De la vie et des mœurs du peuple chrétien.
XX. Les membres de la Cité de Dieu ne sont heureux ici-bas qu’en espérance.
XXI. D’après les définitions admises dans la République de Cicéron, il n’y a jamais eu de république parmi les Romains.
XXII. Le Dieu des chrétiens est le vrai Dieu et le seul à qui l’on doive sacrifier.
XXIII. Des oracles que Porphyre rapporte touchant Jésus-Christ.
XXIV. Suivant quelle définition l’empire romain, ainsi que les autres États, peuvent s’attribuer justement les noms de peuple et de république.
XXV. Il n’y a point de vraies vertus où il n’y a point de vraie religion.
XXVI. Le peuple de Dieu, en son pèlerinage ici-bas, fait servir la paix du peuple séparé de Dieu aux intérêts de la piété.
XXVII. La paix des serviteurs de Dieu ne saurait être parfaite en cette vie mortelle.
XXVIII. De la fin des méchants.
Chapitre premier. On ne traitera proprement dans ce livre que du jugement dernier, bien que Dieu juge en tout temps.
II. Du spectacle des choses humaines, où l’on ne peut nier que les jugements de Dieu ne se fassent sentir, bien qu’ils se dérobent souvent à nos regards.
III. Du sentiment de Salomon, dans le livre de l’Ecclésiaste, sur les choses qui sont communes aux bons et aux méchants.
IV. Il convient, pour traiter du jugement dernier, de produire d’abord les passages du Nouveau Testament, puis ceux de l’Ancien.
V. Paroles du divin Sauveur qui annoncent qu’il y aura un jugement de Dieu à la fin des temps.
VI. De la première résurrection et de la seconde.
VII. Ce qu’il faut entendre raisonnablement par les deux résurrections et par le règne de mille ans dont saint Jean parle dans son Apocalypse.
VIII. Du diable enchaîné et délié de ses chaînes.
IX. En quoi consiste le règne des saints avec Jésus-Christ, pendant mille ans, et en quoi il diffère du règne éternel.
X. Ce qu’il faut répondre à ceux qui pensent que la résurrection regarde seulement les corps, et non les âmes.
XI. De Gog et de Magog que le diable, délié à l’approche de la fin des siècles, suscitera contre l’Église.
XII. Si le feu que saint Jean vit descendre du ciel et dévorer les impies doit s’entendre du dernier supplice.
XIII. Si le temps de la persécution de l’Antéchrist doit être compris dans les mille ans,
XIV. De la damnation du diable et des sens, et récapitulation de ce qui a été dit sur la résurrection des corps et le jugement dernier.