Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
641
TABLE DES MATIÈRES.
—V. La chair du Christ semblable à la chair du péché.
—VI. En quel sens le Christ a été maudit de Dieu.
—VII. Le Christ vraiment maudit, parce qu’il est vraiment mort.
—VIII. Vaine distinction, imputable aux Manichéens.
—IX. Calomnie de Fauste contre Moïse.
—X. Les Manichéens sont idolâtres.
—XI. Ils adorent le soleil et la lune.
—XII. Réponse à un dilemme de Fauste.
—XIII. Autre calomnie de Fauste contre Moïse.
Chapitre premier. Pourquoi Fauste rejette l’Ancien Testament.
—II. Fauste interprète mal un texte de l’Évangile.
—III. Impudence des Manichéens. Augustin confesse qu’il a été de la secte. Touchant appel à la véritable Église.
—IV. Le saint docteur continue son appel à l’Église catholique.
—V. Apostrophe ironique à l’église manichéenne.
—VI. Suite de l’apostrophe. Rêveries manichéennes.
—VII. La doctrine manichéenne en présence du Décalogue.
—VIII. La véritable Église a seule l’intelligence de la loi.
—IX. Continuation du même sujet. La secte manichéenne séduite par le serpent.
—X. Les prophètes manichéens. La secte prédite par saint Paul.
—XI. Promesses de Dieu accomplies. Invitation pressante à revenir à la vérité.
Chapitre premier. Fauste accepte les prophéties de Moïse sur le Christ, s’il y en a, tout en repoussant le reste de sa doctrine.
—II. Mais Fauste n’a trouvé dans Moïse aucune prophétie sur le Christ.
—III. Il demande qu’on les lui fasse connaître.
—IV. Il en discute une et la rejette.
—V. Il en réprouve également une seconde.
—VI. Contradictions entre la doctrine de Moïse et celle du Christ.
—VII. Aussi les sectes chrétiennes rejettent-elles la loi de Moïse.
—VIII. Fauste ne veut pas croire sans preuves.
—IX. Rétorsion d’Augustin.
—X. Le culte prescrit par Moïse n’était point un paganisme.
—XI. Augustin justifiera les textes incriminés Si Fauste ne croit pas à l’Évangile, qui croira à Fauste ?
—XII. Ceux qui sont venus avant le Christ sont des voleurs et des larrons. Sens de ce texte.
—XIII. Explication du texte : « Toute parole sera assurée par la déposition de deux ou trois témoins ».
—XIV. Fauste pris dans ses propres arguments.
—XV. En quoi le Christ ressemble à Moïse, et en quoi il en diffère.
—XVI. Le péché et la mort de Moïse n’ôtent rien à son mérite.
—XVII. Moïse figure du Christ.
—XVIII. Le Christ a été prophète.
—XIX. Le Christ est le prophète promis à Moïse.
—XX. Un juif sincère, un païen de bonne foi, seraient convaincus par les prophéties.
—XXI. Utilité de l’aveuglement des Juifs.
—XXII. Sur le texte : « Tu verras ta vie suspendue et tu ne croiras pas à ta vie ».
—XXIII. Cette prophétie s’applique au Christ. Prophétie de Caïphe.
—XXIV. Le Christ n’a point détourné les Juifs de l’observation des commandements.
—XXV. Moïse a eu en vue le vrai Christ et condamné d’avance l’erreur de Manès.
—XXVI. On peut produire d’autres témoignages de Moïse relativement au Christ.
—XXVII. Les Juifs auraient pu faire ce qu’a fait le monde entier.
—XXVIII. Le sabbat était une figure. Question ironique adressée aux Manichéens.
—XXIX. La circoncision avait un sens prophétique. Détails à ce sujet.
—XXX. Sens prophétique de la distinction des aliments.
—XXXI. Le Christ ne l’a pas maintenue ni observée lui-même. Ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l’homme, mais ce qui en sort.
—XXXII. Les chrétiens sont les vrais observateurs de la loi de Moïse, que les Juifs transgressaient.
—XXXIII. Dilemme à Fauste à l’occasion des cicatrices du Christ.
Chapitre premier. Fauste nie l’authenticité de ce texte de saint Matthieu : « Je ne suis pas venu abolir la loi et les Prophètes, mais les accomplir ».
—II. Jésus a détruit la loi. Ni la loi ni les Prophètes n’avaient besoin d’accomplissement.
—III. Réponse d’Augustin. Pourquoi le témoignage de saint .Matthieu mérite d’être accepté.
—IV. Les historiens parlent d’eux-mêmes à la troisième personne. Le Christ aussi l’a fait.
—V. Dans quel sens le Christ a pu dire : « Je ne suis pas venu abolir, etc. »
—VI. Comment la loi et les Prophètes peuvent s’accomplir.
Chapitre premier. On ne peut être chrétien, dit Fauste, sans supposer la loi abolie.
—II. Si la loi n’est pas abolie, il faut donc observer toutes ses prescriptions
—III. Nécessité de trier dans l’Évangile pour ne pas se trouver dans l’embarras.
—IV. C’est en disparaissant que la loi et les Prophètes ont été accomplis.
—V. Sur le sabbat. Dénomination païenne des jours et des mois.
—VI. Les sacrifices d’animaux étaient des figures du Christ.
—VII. Usage que les vrais chrétiens font de la raison.
Chapitre premier. Quel sens le Christ a-t-il attaché à ces paroles : « Je ne suis pas venu pour abolir, etc. »
—II. Trois espèces de lois, selon Fauste.
—III. Ces paroles : « Je ne suis pas venu, etc. », s’appliquent à la loi et aux Prophètes de la vérité.
—IV. Certains Juifs pourraient seuls tenir le langage que tient Augustin.
—V. Grâce à la doctrine de Manès, Fauste ne s’est pas fait juif.
