vraiment à Churchhill. Pardonnez-moi, ma chère amie, c’est ma dernière ressource. S’il y avait un autre endroit en Angleterre qui me soit ouvert, je le préférerais. Charles Vernon est mon aversion, et j’ai peur de sa femme. À Churchhill, cependant, je dois rester jusqu’à ce que j’aie quelque chose de mieux en vue. Ma jeune lady m’accompagne à la ville, où je la déposerai[1] à la garde de Miss Summers, à Wigmore Street, jusqu’à ce qu’elle devienne un peu plus raisonnable. Elle se fera de bonnes relations là, car les pensionnaires y sont toutes des meilleures familles. La dépense est immense, et bien au-delà de ce que je peux toujours essayer de payer.
Adieu, je vous enverrai une ligne[2] dès que j’arrive en ville.
Toujours à vous, S. Vernon.
- Mme Vernon à Lady De Courcy
Ma chère Mère, — Je suis désolée de vous dire qu’il ne sera pas en notre pouvoir de tenir notre promesse de passer Noël avec vous, et on nous a privé de ce bonheur par une circonstance qui n’est en rien susceptible de nous réconforter[3]. Lady Susan, dans une lettre à son beau-frère, a déclaré son intention de nous rendre visite