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VERNON.
De tous nos crimes. Quand tu as commis une sottise, on te donne le fouet; voilà la justice.
NAPOLÉON.
Je n’ai jamais eu le fouet.
VERNON.
On ne t’a jamais fait justice, alors!
NAPOLÉON.
Bonsoir, mon bon ami! bonsoir, Pauline ! adieu, monsieur Godard.
GODARD.
De Rimonville.
NAPOLÉON.
Ai-je été gentil ?
(Gertrude l’embrasse.)
LE GÉNÉRAL.
J’ai le roi.
VERNON.
Moi, la dame.
FERDINAND, à Godard.
Monsieur, nous sommes ensemble.
GERTRUDE, voyant Marguerite.
Dis bien tes prières, ne fais pas enrager Marguerite... va, cher amour.
NAPOLÉON.
Tiens, cher amour !... en quoi c’est y fait l’amour? {di|(Il s'en va.)}}
Scène V.
Les mêmes, moins NAPOLÉON.
LE GÉNÉRAL.
Quand il se met dans ses questions, cet enfant-là, il est à mourir de rire.
GERTRUDE.
Il est souvent fort embarrassant de lui répondre. (À Pauline.) Viens là, nous deux, nous allons finir notre ouvrage.