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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/282

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— Cette lettre, dit madame Octave de Camps, lui a porté un coup terrible : dans le fait, elle le touchait au corps et à l’âme.

— J’admets cela, s’écria le maître de forges ; mais, que diable ! on est homme, et on prend les paroles d’un fou pour ce qu’elles valent.

— C’est bien singulier cependant, dit madame Octave, que M. de Sallenauve ne revienne pas ; car enfin, ce Jacques Bricheteau auquel vous avez donné son adresse, a dû lui écrire.

— Que voulez-vous ! répondit la com-