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Page:Balzac - Le Comte de Sallenauve, Tome II.djvu/283

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tesse, il y a une fatalité dans toute cette affaire ; c’est demain que doit se discuter à la Chambre la question de savoir si l’élection de M. de Sallenauve sera ou non confirmée, et, dans le cas où il ne serait pas de retour, le ministère se flatte de l’espérance de faire prononcer l’annulation.

— Mais c’est une infamie, dit M. Octave de Camps, et il ne tient à rien que tout mal posé que je puisse être pour faire cette démarche, je n’aille dire au président de la Chambre les choses comme elles sont.

— Je vous en eusse prié, je crois, au