Page:Barbey d’Aurevilly - Ce qui ne meurt pas, 1884, 2e éd.djvu/125

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entre lui et la femme qu’il aurait voulu retenir plus longtemps dans ses bras. Le silence recommença. Mais un gémissement résonnant et court s’entendit. Ce n’était que le piano, sur les touches duquel Camille avait appuyé ses deux coudes pour reposer ainsi sa tête dans ses mains.