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Page:Barbey d’Aurevilly - Lettres à Trébutien, I, 1908.djvu/19

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plus d’espace sur l’Océan, je vous souhaiterais une tempête à me raconter quand nous nous reverrions. Que ce soit bientôt. Voilà mon vœu le plus ardent,

À vous pour jamais,
Jules Barbey


Laissez votre Montaigne à votre mère. Je m’en servirai à mon retour à Caen.