Page:Barbey d’Aurevilly - Lettres à Trébutien, I, 1908.djvu/32

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dont Gaudin vient de se détacher comme un dernier fleuron en allant vivre loin de ce Paris où nous étions si rapprochés et si bien. Adieu, mon ami, je deviens presque mélancolique. Imposons silence aux murmures du cœur.

Tout à vous,
Jules