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Page:Barbey d’Aurevilly - Lettres à Trébutien, I, 1908.djvu/44

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Adieu, mon ami. Gaudin vous dit mille choses. Nous voici, j’espère, l’un à l’autre et pour jamais. Nous ne jouerons plus désormais aux propos interrompus, n’est-ce pas ? — Croyez que si le propos l’a été, l’amitié (de mon côté du moins) n’a pas cessé d’être, et agréez-en l’expression.

Jules Barbey d’Aurevilly


Un vif serrement de main au poète de la ville bien-aimée, à M. Le Flaguais, et à votre mère la plus respectueuse assurance d’une inaliénable affection.