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Page:Barbier - Iambes et Poèmes, 1841.djvu/129

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Alors mon âme vaine et sans dévotion,
Mon âme par degrés prend de l’émotion,
Et monte avec tes chants au séjour des archanges :

Et mystique poète, au fond des cieux brûlants,
J’entends les bienheureux dans leurs vêtements blancs,
Chanter sur des luths d’or les divines louanges.