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HOFFMANN, souriant.
Même à l’égard de M. Schlemil.
DAPERTUTTO.
Ah ! Schlemil !… décavé, mon cher ami.
HOFFMANN.
Vous dites ?
DAPERTUTTO.
Je vais un peu vite en amitié, n’est-ce pas ? Ma foi ! c’est que Giulietta m’a parlé de vous dans des termes… (Mouvement de Giulietta.) Bien ! bien ! Je ne veux pas être indiscret. Ah ! vous êtes malheureux au jeu ? Eh ! eh ! ce pauvre Schlemil ! Je vais lui porter mes consolations.
Il sort en riant.
Scène VII
HOFFMANN, GIULIETTA.
GIULIETTA.
Ne prenez pas garde à ce que dit le capitaine, je vous prie !… Il est fou !
HOFFMANN.
Ne craignez rien, Madame ! je sais ce qu’on doit aux millions de M. Schlemil.
GUILIETTA, se laissant tomber sur un fauteuil.
Ah !