Pourquoi ? Bien, je comprends ! Adieu ! (A part.) Mais je veille sur toi ! (Il salue Schlemil et sort.) Qu’attendez-vous, Monsieur ?
Que vous me donniez certaine clef que j’ai juré d’avoir.
Vous n’aurez cette clef, Monsieur, qu’avec ma vie.
J’aurai donc l’une et l’autre.
C’est ce qu’il faut voir ! En garde !
Vous n’avez pas d’épée. (Lui présentant son épée.) Prenez la mienne !
Merci !
Qui se termine au baisser du rideau.
- Belle nuit, ô nuit d’amour !
- Souris à nos ivresses !
- Nuit plus douce que le jour !
- O belle nuit d’amour !
- Belle nuit, ô nuit d’amour !
Hoffmann et Schlemil se battent ; après quelques passes Schlemil est blessé à mort et tombe. Hoffmann jette son épée, se penche sur le corps de Schlemil et lui prend une petite clef pendue à son cou. Hoffmann s’élance dans l’appartement de Giulietta. Pitichinaccio regarde Schlemil avec curiosité et s’assure qu’il est bien mort. Dapertutto ramasse