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FRANTZ.
Oh ! non, Monsieur, pas avant une heure.
Il sort.
Scène VII
HOFFMANN, NICKLAUSSE.
NICKLAUSSE.
Enfin, tu la retrouves, mon cher Hoffmann !… ce n’est pas sans peine. Peut-être eût-il été plus sage après tes aventures avec les autres ?…
HOFFMANN, s’éloignant de Nicklausse.
Ah !… tu doutes de tout !…
NICKLAUSSE.
Oui, je te vois venir ; prends à témoin ce chant délicieux où se mêlaient vos voix et vos cœurs !
HOFFMANN, s’asseyant devant, le clavecin et s’accompagnant.
- C’est une chanson d’amour,
- Qui s’envole,
- Triste ou folle
- Tour à tour !
- C’est une chanson d’amour,
ANTONIA, entrant précipitamment en scène.
Hoffmann !…
HOFFMANN, se relevant et recevant Antonia dans ses bras.
Antonia !…
NICKLAUSSE, à part.
Je suis de trop… bonsoir !…
Il s’esquive.