Page:Barrucand - Avec le Feu, 1900.djvu/30

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— À bientôt.

— N’oubliez pas le chemin de l’avenue Trudaine ; j’y suis toujours pour vous. Quelques amis viendront ce soir. Serez-vous des nôtres ?

— Je ne vous promets rien.

— Quand vous voudrez.

Ils se séparèrent.

Robert suivit le boulevard en sifflotant un air de gigue entre ses dents. Les événements le chauffaient d’une fièvre, le pressaient d’un besoin d’agir et de prouver aux fonctionnaires policiers qu’il restait encore des hommes pour riposter à leurs attaques.