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Pleure, ndeyandeya.
Il le saisit et le mangea. Le cabas lui déclhira les entrailles. Il sortit, se mit à courir et vint au hameau. Il dit :
— La femme est morte, ainsi que les enfants eux-mêmes. C’est fini.
LXIX. — RONGA[1]
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LE LIÈVRE ET LA RAINETTE[2]
l y avait une fois un roi qui s’appelait
Maçinguéona-Ndjao. Il ordonna à tous les
animaux de venir curer son puits. On
appela aussi le lièvre, mais Sieur Lièvre refusa
d’y aller.
Lorsqu’ils eurent achevé de nettoyer le puits, ils dirent au Lièvre :
— Puisque tu n’as pas voulu nous aider, tu ne puiseras pas non plus ton eau ici.
Il répondit :
— Mais non, je n’y puiserai pas ; je n’en ai