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FÉLIX, l’interrompant.
Loge 26, probablement. C’est cela que j’ai voulu dire. Je me suis mal exprimé, sans doute. Passe devant, petite, je te suis. Donne-moi un œillet, tiens, je vais te montrer le chemin des coulisses. Tu es Italienne, la gosse ? vera, vera, bene… Aquella signora que a visto…
(Et il sort en affectant de se baisser pour parler à la petite, tout en mettant le brin d’œillet rose à sa boutonnière.)
Scène XIII
ANDRÉ, GENEVIÈVE.
(André et Geneviève restent seuls, sans sortir encore de leur silence. André, le premier, timidement, avec une gêne affreuse, ose élever la voix.)
ANDRÉ.
Il a dit la vérité, n’est-ce pas ?
GENEVIÈVE, sans se retourner.
Eh bien, après ?… Ah !
(Elle fait un geste vague de lassitude.)
ANDRÉ, allant à elle, d’un grand élan.
Ma pauvre petite Viève !
GENEVIÈVE.
Oublie ce que tu viens d’entendre… Va-t’en… Tu sais bien que nous ne pouvons pas être heureux ensemble… Laisse-moi vieillir toute seule… J’en ai tant besoin… Oh ! va-t’en !…
ANDRÉ.
Geneviève ! Geneviève ! Quelle honte pour moi si ce que j’entrevois est vrai… J’hésite encore à comprendre. Parle. Quel but poursuivais-tu ? Il me semble deviner