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Page:Bataille - Théâtre complet, Tome 5, 1922.djvu/278

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FÉRIOUL.

Non, non… Vous allez prendre un verre de ratafia avec nous, vous savez, le ratafia de ma mère. Elle en est si fière.

PARIZOT.

Oh ! vous êtes trop aimable… Je ne sais…

FÉRIOUL, (s’adressant à la salle à manger.)

Vous pouvez venir, vous autres, (À Parizot.) Vous voyez, on attendait délicatement que j’eusse fini avec vous et je ne voulais pas parler de votre petite affaire devant l’institutrice de Magagnosc, qui déjeune avec nous.

PARIZOT.

Ah ! la nouvelle institutrice !

FÉRIOUL.

Oui, oui… c’est la personne là, qui est de dos… La petite demoiselle Blanquette.

PARIZOT.

Elle est gentille… (Sortent, en causant, de la salle à manger, Charlotte, Madame Férioul mère, soixante-dix ans, l’air paysan, Riquet et Marthon, puis Mademoiselle Blanquette, l’institutrice, vingt ans, l’air doux.) Bonjour, madame.

CHARLOTTE.

Bonjour…

PARIZOT.

Je ne vous avais pas vue depuis votre séjour aux eaux.