Peinture indépendante. — Wiertz, charlatan, idiot, voleur, croit qu’il a une destinée à accomplir. Wiertz, le peintre philosophe, littérateur. Billeve- sées modernes. Le Christ des humanitaires. Peinture philosophique. Sottise analogue à celle de Victor Hug-o, à la fin des Contemplations . AhoViiion de la peine de mort, puissance infinie de l’homme.
Les inscriptions sur les murs. Grandes injures contre les critiques français et la France. Des sen- tences de Wiertz partout. M. Gagne. Des utopies. Bruxelles capitale du monde, Paris province. Les livres de Wiertz. Plagiats. Il ne sait pas dessiner^ et sa bêtise est aussi grande que ses colosses. En somme, ce charlatan a su faire ses affaires. Mais qu’est-ce que Bruxelles fera de tout ça, après sa mort?
Le irompe-l’œil. Le soufflet. Napoléon en enfer. Le livre de Waterloo. Wiertz et Victor Hugo veu- lent sauver l’humanité.
Bruxelles. — Architecture. — Un pot et un cavalier sur un toitsont les preuves les plus voyantes du goût extravagant en architecture. Un cheval sur un toit ! Un pot de fleurs sur un fronton ! Cela se rapporte à ce que j’appelle le style joujou. — Clo- cher moscovite. Sur un clocher byzantin, une clo- che ou plutôt une sonnette de salle à manger, ce qui me donne envie de la détacher pour sonner mes domestiques, — des géants. Les belles maisons de la Grande Place rappellent ces curieux meubles appelés cabinets. Style iouioyi. — Du reste, debeaux meubles sont toujours de petits monuments.
Une statue équestre sur un toit ! Voilà un homme qui galope sur les toits 1 En général, inintelligence