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jmituii,e, 11 idddra faire, s’il se peut, deux cent cin- quante pages.
Vous me parlez sans cesse de vos dettes. Je suis convaincu qu’avec un peu d’ingéniosité, vous pour- riez résoudre la question. Mais je ne connais pas
>ez vos affaires pour vous donner un conseil.
l’]crivez-moi moins tristement, si vous pouvez, cl soyez toujours aimable. Mes compliments à votre famille.
M. Mistral, auteur de Mirèio, est un poète patoi- sant, cornaqué par Adolphe Dumas. Le mauvais sujet a regretté qu’il ne fût pas tout à fait sau-
ige. Il a vu avec douleur que M. Mistral, par ses
mmenlaires, avait prouvé qu’il savait le français.
ailleurs, ce charabiaïsant est Pétoile du moment.
J’attends un mot de vous. Blanchissez vigoureu-
ment le texte.
A POULET-MALASSIS
Ilonfleur. Mercredi, 4 Mai iSSg.
Je vous en prie, mon cher ami, écrivez immédia- inenl vous-même au directeur de la Mai|on muni- i)ale de santé, 200, Faubourg Saint-Denis, pour i affirmer que vous lui avez envoyé i5o fr. par chemin de fer d’Alençon, frais d’envoi payés .our M"o Duvalj.
Ecrivez, de plus, au directeur du chemin de fer, <)ur vous plaindre.
Hier 3, rien n’était arrive. •