Page:Baudelaire - Lettres 1841-1866.djvu/305

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circonstances. J’ai pris Thabitude, depuis mon enfance, de me considérer comme infaillible.

Je crois que je dois vous céder dans tous les cas où vous croyez que je puis vous nuire. Mais votre rroyance est fausse et le résultat d’une timidité folle,

je suis convaincu que l’article paraîtrait, avec un bénéfice déplaisir pour tout le monde, et sans dan^ —.-r pour vous. Cependant^ supprimons-le.

A bientôt. Je saurai vous dédommag-er.

Ayez la bonté de garder mes feuillets : je n’ai pas de double.

Tout à vous.

A POULET-MALASSIS

Mon cher ami,

Je n’avais pas besoin de votre lettre ; car, depuis

i.lnsieurs jours, je retourne tout cela dans ma tète,

la visite à Helzel était faite. J’allais donc vous

—o ^.11.^ désolé de vous affliger ; mais, malgré le rible mot, répété si souvent : Nous sombrerions, suis contraint de vous demander peut-être l’im- possible, enfin un grand acte de dévouement, en réservant toutefois de faire, après paiement, la grande expédition des courses et de boucher quel- ques jours après, en partie ou en totalité, le trou foî » -\ vos affaires personnelles. Je vous fais juge :

25 Mars, i.ooo. T (impossible).

25 Mars. fjoo. S (impossible).