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424 CHARLES BAUDELAIRE

ne VOUS ai pris que 100, 200, et i5o fr., c’est à dire : l\^o fr. — Différence : 264 fr.

Il paraît que la vente de César ne va plus.

J’ajouterai aux choses que je dois vous rapporter Les Propos de Labiénus, qui viennent de paraître ici. Il y a de l’esprit, mais c’est loin d’être excellent. J’avais bien envie d’écrire une réfutation de la fa- meuse préface, et puis je me suis dit, comme je me le dis si souvent à propos d’une foule de choses : yl r/iioi bon ? et que m’importe ?

Tout à vous, mon cher ami.

Mes compliments à Madame Ancelle.

Varient d’abord, je vous prie. J’attends votre lettre le 24, au matin, ou à 3 h., au plus tard.

Quant aux exemplaires, le plus tôt possible. Si, par extraordinaire, le s’était exécuté, rela-

tivement à ma mère et à moi, n’exigez que votre exemplaire.

Cherchez donc, dans votre paquet d’autographes, une lettre de M. de Gustine (peut-être deux) à pro- pos delà conàdimndiûoïiàQs Fleurs du Malt et faites- les copier pour moi. Je vous dirai plus tard pour- quoi.

Si, ayant lu la lettre pour, vous la trou-

vez trop malhonnête, demandez verbalement des explications, et transmettez -les-moi.

Ci-Joints fhsi Petite Revue, deuxième article sur Proudhon ; — une lettre pour ; —

un bon pour cinq exemplaires de mon livre ; — un reçu de 260 fr, ; — une lettre pour Miquel Rou-