'WHt plits que la Firce: •ks , & àont il mcnaçoit lOccaa. Ce «ui fait dire au Poëte Eunpide. Qu’tm bon Confeil cfi vdnquemàu- neArmée à Gcllius,, que lesPrm- ccs & leurs ſujets ſe perdent loti- vent, à fau te de confulter des per- ſonnes bien. aviſees ; a Salomon , £ìue fhommc prudcnt ne fait rien que par confeil : & à l’Empereur Anto- nin, qu’encore que le Rafoictran- che bien , íi est-cc qu’il est bon quelquefois de le repalîer par la meule j cest à dire, que pour ſub» til & rafnné que ſoit un eſprit, il le ſera davantage, s’il ríentreprend rien que par le confeil de ſes amis, Et ccrtaincmsnt il est comme im* poffible, que de plusieurs avis joints enſemble, & bien debattus, on n’en titeun bon,pour dctourner la rui- ne dune affaire , & en avoir un ravorable ſuccez. A quoy tous les hommes en general doivent bien s etudier, & fc fouvenir avec Se- hequc 3 que Jupster ne lance jamais
