Page:Beaufils - Les Houles, 1894.djvu/218

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
CHANSONS DE BORD
I. Quand je menai vers toi la fête de mes vers. 45
II. Nous te saluons, Maître, et nous te vénérons. 49
III. Matin d’avril à l’hôpital 51
IV. Étrange au front des soirs d’or et de sang fleuris 54
V. Comme au dehors un lourd soleil chauffait la rue 56
VI. Quand le soleil nous dit adieu 57
VII. Avril fleurit chaque verger 59
VIII. En amour, de toutes les grâces 61
IX. Ta main, ta main, je veux te suivre. 62
X. Depuis que tu m’as dit : J’aime ta poésie. 65
XI. Je me souviens du béret blanc que vous portiez 67
XII. Ton corps est un paradis 69
XIII. Les jours de souvenir où j’évoque des yeux. 71
XIV. Tout un soir, en suivant un chemin. 73
XV. C’est une ville triste et morte 75
XVI. Jeux d’ironie : Fin de siècle 77
Conseils 79
Pour 81
Pour vivre 84
XVII. Sextines : Dans les nuits 86
Dans les aubes 88
Dans les midis 90
Hymne du vers 92