Page:Beaufils - Les Houles, 1894.djvu/220

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X. Comme j’errais auprès des flots, la nuit venue. 169
XI. Un matin décembral hérissé de ténèbres. 170
XII. Automne, automne, adieu des êtres et des choses 173
VERS QUELLES RADES ?
I. Ce matin, l’âme déchirée 179
II. Ô pins, vos pieds baignaient dans la fraîcheur des mousses 181
III. Heureux, heureux, ceux qui feront l’amour ce soir 184
IV. Blonde et diaphane 189
V. Le jour où tu seras aimé, poète triste. 193
VI. Ô belle jeune fille blonde 196
VII. À celle qui doit être blonde 200
VIII. Le soir traîne là bas des suaires de brume . . 204
⁂ Ô vers, envolez vous ! Strophes, l’une après l'une 207