n’exigea pas que Je sauve sa réputation aux dépens de mon. honneur?
AURELLY.
Il y auroit encore plus d’absurilité que d’injustice à le propose!;.
SAINT-ALEA N.
Les intérêts de la compagnie à couvert par vos offres , on peut faire grâce à votre homme de l’op- probre qu’il a mérité ; mais je deviendrois coupable, si je lui conlioisplus long-temps une recette...
AURELLY.
Vous lui ôtez sa place !
s ai:* T- AL BAN. La lui laisseriez-vons .’*
AURELLY.
Ah , monsieur ! je vous prie...
SAINT-ALEAN.
Faite» un pas de plus.
AURELLY.
Comment ?
s AIÎTT-AL B A N.
Vous avez de l’honneur : osez me le conseiller. ( Aurellv liaisse la tète sans répondre. ) .l’cspere que vous distinguerez ce que je puis ac-corder, et ce que le devoir m’interdit ; j’accepte l’argent , j-e nie tairai : mais j’exige qu’il se défasse, à l’instant, de son em- ploi , sous le préteste qu’il voudra,
AURELLY.
J’avoue qu’il n’est pas digne de le garder ; mais son fils ? cette survivance.-* tant de démarches pou- l’obtenir.,.?
SAINT-ALBAN.
Son fils ! qui nous en répondroit ?
AURELLY.
Moi.