Page:Beaumarchais - Œuvres choisies Didot 1913 tome 1.djvu/207

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��SCE^E PREMIERE.

DRINK, \m paquet «le lettres à la main. Il 5e retourne eu eutraiit, el rrie au facteur qui s'eu va :

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��moi seul, entendez-vous? (il avance lîans le sa- lon.) Un homme avei-ti en A'ant deux, dit-on. Voyons ce que le facteur vient de nie remettre. Il faut servir un maître qui rosse aussi fort qu'il ré- compense bien. ('^11 lit une adresse.) îiem, m, m , à Monsieur, Monsieur le l'.aron Hartley.. Voilà pour le père. Quelque .sanglier forcé, (lucîqne cliien éninté , etc. etc. ( il en lit une aulre. ) Hfm, m , m... Armée d'Irlande : c"e.'^t du fils. Ceci doit encore p.is- ser ; l'ordre ne porte pas d'arièter les paqucîjots. ( il enregarilc une Irui.sienie.^ Heiî), m, m, Lanca.'itre ! A'oici qui paioît susiject. (illii.) A Madame, ?.îaiiarce IVIurer, près du parc Saint-James... Pour la tante.... c'est récriture de IM. Williams, notre marieur, l'in- tendant lie ii.ilord... main basse sur celle-ci. Pesie ! la jeune personne eût appris.... A propos . il se meurt . dit moiî maître. Vo-", ons un peu ce qu'il .écrit : puisque je ne dois pas la remettre, je puis bien la lire. Il n'y a pas phus de mal à l'un qu'à l'autre , et l'on apprend quelquefois..! ( il késite un peu, et enfin' roniiiaiil le cachet, il lit:) « Madame, je

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