naires et les grâces les plus signalées, tinrent lieu de la politique humaine. (Voyez page 267.)
3o « Tous les gens sensés ont trouvé dans l’auteur du livre des Délits et des Peines, un ennemi du christianisme, un méchant homme et un mauvais philosophe. »
Il m’importe peu de paraître à mon critique bon ou mauvais philosophe ; ceux qui me connaissent assurent que je ne suis pas un méchant homme.
Suis-je donc l’ennemi du christianisme, en insistant pour que la tranquillité des temples soit assurée, sous la protection du gouvernement ; et quand je dis, en parlant du sort des grandes vérités, que la révélation est la seule qui se soit conservée dans sa pureté, au milieu des nuages ténébreux dont l’erreur a enveloppé l’univers pendant tant de siècles ?
4o « L’auteur du livre des Délits et des Peines parle de la religion, comme si c’était une simple maxime de politique. »
L’auteur des Délits et des Peines appelle la religion « un don sacré du ciel ». Est-il probable qu’il traite de simple maxime de politique, ce qui lui paraît un don sacré du ciel ?
5o « L’auteur est ennemi déclaré de l’Être-suprême. »
Je le prie de tout mon cœur, cet Être-suprême, de vouloir bien pardonner à tous ceux qui m’offensent,