Soyons-en heureux car sans cela nous n’aurions peut-être pas eu la bonne fortune de recevoir en don La Vieille Maison qu’elle a chantée dans de nouveaux poèmes.
L’œuvre débute par un « Hymne à la Vieille Maison », puis on entend, comme dans l’œuvre du poète français Louis Mercier, les chansons de la porte et de la fenêtre, ce que chantent aussi le poêle, le « ber », la lampe, la croix du mur. Le poète évoque encore les absents et trace des tableaux de la maison quand elle était plus jeune”.
Dans ce nouveau recueil, Mlle Blanche Lamontagne a fait aussi une large place aux poèmes d’amour, et ce ne sont pas les moins délicieux.
Et maintenant qu’elle est entrée dans la vie conjugale et qu’elle jouit d’une vie plus heureuse, nous donnera-t-elle à l’avenir des poèmes comme « Bébé dort », de Napoléon Legendre ?