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DU CHANT II.
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cela il entra en matière sur l’ordre du service, plein <ie belles et importantes considérations : JVfr rninimo sar.è discrimi ; e refert, ÇtiO li^esiu /épures ef (}uo s^atlina sscetur. « Et tout cela enflé de riches et magnifiques paroles, et de celles là mêmes qu’on emploie à traiter du gouvernement d’un Empire. Il m’est souvenu de mon homme. »

  • ^ PAGE 4’5 ? VERS 9.

Np VC11S permettez pas de’Jîner tous les jours A l’heure où le sol( il a teimiué son cours. Un plaisant a dit que les parisiens, a force de retarder l’heure de leur dîner, finiraient par ne dîner que le lendemain. " PAGE 48, VERS 9. O vous que mes leçons n’auront point satisfaits, J’ose vous renvoyer au Cuisîhier français, Au Trésor de Cornus, catéchisme ordinaire De l’artiste grossier, du ralet mercenaire, Qui pense avoir atteint le secret de son art Quand ilsait apprêter une omelette au larJ. Ce n’est pas une chose si aisée que de bien faire