Page:Bergerat - Contes de Caliban, 1909.djvu/145

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narrait le roman du célèbre Sonnet d’Arvers, et je me disais en l’écoutant que si le goût des proverbes dramatiques reparaissait sur la scène française, il en fournirait un bien amusant, sous le titre de : La Proie et l’Ombre.

Mais il y faudrait Alfred de Musset lui-même, voire ce Carmontel, créateur du genre, et l’écrivain que j’admire le plus au monde, car il est le seul qui ait obtenu du Mont-de-piété un prêt sur de la littérature.