Page:Bergerat - Contes de Caliban, 1909.djvu/224

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se trempant les pieds dans de l’eau bouillante, on peut avoir des pantoufles de verre. Aussi écrivent-ils : « de vair », dans leur ignorance des choses de l’amour. De « vair », les pantoufles de Cendrillon. Ah ! les imbéciles ! Tel est mon rêve.