Page:Bergerat - Souvenirs d’un enfant de Paris, vol. 3, 1912.djvu/269

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aspasienne. C’était plus que mon droit, c’était mon devoir de la publier. Mais Mme Pilloy, dite Ozy, en religion, était la marraine (où les prenait-on en 1848 ?) d’une personne qui m’est proche, et cette marraine n’avait point d’héritiers directs et réguliers. Mes enfants ont peut-être perdu là le bénéfice de quelque clause testamentaire que je les ai élevés à ne pas regretter, j’espère, car le proverbe est faux qui dit que l’argent est inodore, il sent toujours son travail.