Page:Berlioz - Correspondance inédite, 1879, 2e éd. Bernard.djvu/316

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CXXII.

À M. JOHANNES WEBER.


Dimanche, 32 novembre 1863.

Monsieur et cher confrère,

Je suis malade depuis quinze jours et n’ai eu qu’aujourd’hui connaissance de votre grand et beau travail de mardi dernier sur mon nouvel ouvrage[1].

Recevez mes sincères remerciements ; je ne pouvais être que très heureux et très fier d’être si sérieusement étudié par un de ces hommes trop rares, hélas ! dans notre temps et dans notre monde, qui unissent à une organisation musicale et à un vrai savoir, la droiture du cœur et de l’esprit.

Permettez-moi de vous serrer la main.


CXXIII.

À M. ALEXIS LWOFF.


Paris, 13 décembre 1863.

Votre lettre m’a causé une joie bien vive. Merci de toutes les expressions cordiales qu’elle contient. C’est une attention charmante de votre part de m’envoyer vos félicitations au

  1. Les Troyens.