Page:Bernard-Pradon - Le Commerce galant.djvu/132

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Si vous voulez unir nos cœurs & nos ſoupirs
Si vous voulez brûler tous deux des mêmes flâmes,
Enfin ſi vous voulez enſevelir nos ames
Dans les plus tranquilles plaisirs.

Réponſe poſitive, je vous en conjure. Adieu.



RÉPONSE
DE
LA JEUNE IRIS
À
TIMANDRE.

Lettre dix huitiéme.

En verité, je n'avois pas crû juſques icy eſtre tant voſtre