Page:Bernard-Pradon - Le Commerce galant.djvu/147

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RÉPONSE
DE
TIMANDRE
À
LA JEUNE IRIS.

Lettre vingt-deuxiéme.


Voſtre Rondeau redoublé auroit infiniment augmenté l’eſtime que j’ay conceuë de voſtre genie, ſi je n’eſtois d’ailleurs trop convaincu de ſon ſçavoir faire ; & ſi j’avois l’eſprit auſſi libre & auſſi dégagé que vous, j’y aurois répondu ſans doute ; mais les mouvemens de mon cœur étouſ-