hommes ; créateur de tout ce qui est bon.
« Dans le ciel, qui est sublime ? Toi seul es sublime ! Sur la terre, qui est sublime ? Toi seul ! »
Et les Veuves, toutes ensemble, le front tourné vers l’Orient, continuaient l’hymne liturgique :
« Toi !… Ta volonté dans le ciel, tu la manifestes. Les Esprits célestes prosternent leur face.
« Toi !… Ta volonté, tombant d’en haut, féconde la prairie et le pâturage.
« Toi !… Ta volonté élargit le parc et l’étable, et multiplie les êtres vivants.
« Toi !… Ta volonté est vaste comme le ciel lointain, profonde comme la terre.
« Toi !… Qui connaît ta volonté ? Qui peut s’opposer à ta volonté ?
« Seigneur, dans les cieux ta domination ; sur la terre ta domination ; parmi les dieux tu n’as pas d’égal.
« Roi des rois, chef du grand cycle divin, dont nul homme ne peut dire la puissance… »
Ce mystère profond, la beauté des chants et des symboles berçaient ces existences et