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Page:Bertrand - Gaspard de la nuit, éd. Asselineau, 1868.djvu/258

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Au gentil et gracieux trouvère de Lutèce, Victor Hugo (10 juillet I83î)

LA CHANSON DU PÈLERIN

QUI HEURTE, PENDANT LA NUIT SOMBRE ET PLUVIEUSE,

A L’huis D’un CHATEL

— Comte en qui j’espère,
Soient, au nom du Père
      Et du Fils,
Par tes vaillants reîtres,
Les félons et traîtres
      Déconfits !