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Page:Billaud - Frissons, 1874.djvu/79

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V


. . . . . . . . . . . . . . . .

J’eus toujours quelques pleurs pour l’angoisse des femmes
Victimes d’un amour ardent et criminel,
Qu’un instant d’abandon, pour le frisson charnel,
Vit tomber de l’azur dans des bas-fonds infâmes.


Pauvre Jhane ! où sont-ils ses beaux rêves d’hier,
Sa foi dans le bonheur, ses caresses d’amante !…
Poussés par le remords les crocs de la tourmente
Obsèdent son esprit dans des rages d’enfer.