descente et bien accentué ; c’est le même pouls pour les deux jours. À 3 heures et demie, changement notable,
le pouls du travail intellectuel est devenu beaucoup plus petit, presque filiforme ; le dicrotisme est tout à fait en haut ; grande différence avec le pouls du repos ; à 4 heures et demie, pouls filiforme, dicrotisme à peine distinct ; à 6 heures et à 7 heures, le pouls ne s’indique pour ainsi dire plus ; la comparaison de ces deux derniers tracés avec ceux du repos pris aux mêmes heures montre l’influence d’un travail prolongé. En ce qui concerne la vitesse du cœur, le tableau suivant résume les résultats.
On voit que le travail intellectuel a accentué le ralentissement normal du pouls, comme il a accentué le rapetissement de la pulsation ; l’accentuation a surtout été forte dans la première moitié de l’après-midi. Il faut tenir compte aussi de l’immobilité du corps, qui a été plus grande pendant le travail intellectuel que dans l’après-midi d’oisiveté.