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Page:Bloy - Je m'accuse, La Maison d'Art, 1900.djvu/82

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avec des imbéciles ou des maquereaux, je pense, tout de même, qu’il n’est pas permis de l’em…der à ce point. C’est trop. Silence donc et patience, une ou deux semaines.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

24. — « Il avait senti Paris mal ensemencé ». Oh ! Octave Uzanne !


25. — « Quand on est un père honnête homme… » — « Il le quitta, écrasé et calme ». Je te crois.

Un ami m’écrit : « Le dégoût que j’ai pour Zola s’est précisément accru de ce qu’il est l’auteur de « J’accuse ». Il doit y avoir, au fond de son acte, un mobile intérieur dont l’ignominie est connue de Dieu seul ».


26. — « … Le ventre nu, le ventre sacré qui s’ouvrait, comme la terre, sous le germe, pour donner la vie… Le désir créateur du monde ». Je m’étais pourtant bien promis le silence, mais le moyen de résister à cela ?


À un ami :

« … Quelqu’un vous a dit qu’on ne peut reprocher à Zola de gagner trois ou quatre cent mille francs par