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Page:Bouasse - Optique géométrique élémentaire, Focométrie, Optométrie, 1917.djvu/174

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Considérons C comme étant dans l’espace objet dont l’indice est supposé le plus petit ;  : le point nodal objet est virtuel.

Considérons C comme étant dans l’espace image dont l’indice est supposé le plus grand ;  ; le point nodal image est réel.

Naturellement nous déterminons ainsi le même point.

Si nous intervertissons le sens de la lumière, l’espace objet devient espace image : c’est au tour du point nodal objet d’être réel et du point nodal image d’être virtuel.

FIGURES 136 ET 137

Les figures 136 et 137 représentent à notre manière habituelle la correspondance des points des deux espaces.

Si l’on change le sens de la lumière, on intervertira les rubriques espace objet et espace image.

101. Image d’un plan de front. Aplanétisme et courbure du champ.

1o. — D’après la théorie purement géométrique que nous venons de donner (théorie qui s’applique exactement aux rayons peu inclinés sur l’axe et tombant sur le dioptre à petite distance de la trace de la droite qui joint le point lumineux et le centre de courbure), à un plan de front correspond un plan de front.

Le grossissement est le rapport d’un segment de droite du plan de front image au segment correspondant du plan de front objet. Pour satisfaire à la convention que le grossissement soit positif quand l’image est droite, nous devons poser les formules équivalentes :