Page:Bouchaud - La France éternelle, 1918.djvu/21

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Cependant, aberré par sa force, le Hun
Pour mieux t’anéantir se prépare dans l’ombre.
Il s’élance. Il prétend que ton courage sombre.
Lors, te dressant d’un bond, tu frappes l’importun.

...Moribonde, ô Kaiser, la France moribonde !
Vous vous étés trompé, la France ne meurt pas.
Mais, seuls, ce sont les rois que guette le trépas
Qui proclament sa perte à la face du monde.