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et Cbartemagne V> l*»iis-le- «ttimnttia : hmluit BoaqutXquafaor Débonnaire tm tonae^I, pufeau tome «** hantm ordmrs, et •Êjpenmàt VU, Cha*fr»-ile-Ch|UiTe, de 840 à 877, forsan quàtHcommodiùs dispertitu et dans -les deux volumes qui «rivent, prodire quxPippini estent et Caroli-Louis-le-Bègue et ses successeurs jus- magniiAqwntotollsctionij wlumîne, q& cn 987- Cest jusque là que Bou- qum LudoviciPiiiti sexto, tum in quet a conduit l’ouvrage, avec quelque septimo qum Caroli Calvi ab anno coopération de dam Dantine, et . des 840 ad 877, in octavo denique ac frères Jean-Baptiste et Charles Hau- nono quset Ludovki Balbi et succesdiquier. La septième série, qui occupe sorum usqne ad 987. fiacteniis les tomes X et Xi publiés en 1760 Martinus Bouquet, àliquoties taet 1767, a pour objet ce qui s’est passé men adjuvantibus sive Francisco en France sous les trois premiers rois Dantine, sive^Joanne-Baptistà et capétiens, Hugues, Robert et Henri : Carolo Haudkfuier fratribus. Sepelie est due aux soins des deux Hau- tima series duol>us tomis includitur, diquier, puis de leurs confrères Hous- decimo videlicet et undecimo, qui, seau, Précieux et Poirier. 11 sagissoit annis 1760 et 17(»7 editi, regiæstirdonc , en 1771, d’entainer une hui- pis terties primordia referunt, res nitième série, dont les règnes de Phi- mirùmapùd Francos gestas /lupone, lippe I.*r, de Louis VI et de Louis Vil deinBoberto, posteà Henrico rrgnanalloient fournir la matière. Clément et tibus :illamcontexuerantci/niutrr//ue son associé Brial, après avoi employé lîaudiquier, tùm ejusdem sodalitii plusieurs années à la préparer, en ini- consortes, Stephanns Rousseau. Japrimèrent, en 1781 et 1786, les deux cobus Précieux, Germanus Poirier, premiers volumes, qui sont le XII.'1 et Igitur inchoanda erat qnte ci><a rcs le XIII e du recueil. Philippi primi, Ludovicorum sexti septimique versaretur, octava stries ;
cujus quidem Clemens, ct qui sc
comitem addiderat Brial, conquisita
instractdque diù matcriii, in larem
annis 1781 et 1786 duo priora vo¬
lumina emisere, collectionis duode¬
cimum et decimum tertium.
Des ordonnances royales, rendues Promulgata fuerant ub arum ~oS) depilis 1759 jusqu’en 1786, avoicilt ari MHii edicta regia, peculiare nliétabli un dé^ôt de chartes et Ull comité quod chartophylacium instituentia, chargé de rechercher, recueillir et em- srlectisquc virisid negotii mandantia, ployer les monuments (le l’histoire et nt rcrum ne legttm fritncicarum rnodu Jroit public de la monarchie Iran- numenta undique exquirerent, colçaise. Différentes causes ont empêché lectaque ad communem usum mlducette institution de produire tous les cerent. (Juin/ minores exspeetatione fruit# qU’$n pouvoiteu espérer. Il paroit f ructus inde pro venerint, varus fuit sur-tout que le garde du dépôt it’avoit ■> causis tribuendum. / idebotnr prxpas été fort heureusement choisi : il srrtimimparoncriipscc/iar tojih) lax, eut quelques dentelés avec des colla- cui fuere, cum peritioribus colhgis, borateurs plus habiles, particulièrement maxime cum acadcmico viro deBréavee l’académicien de Bréquignv. Mais quigny, nonnn/læcontentiones. ( ’on-on comptoit au nombre des membres sedebant ver<> in bocce doctissimo de ce comité les Bénédictins Labat, ca’tu Bencdictini aseetw Labat, l’oi-Poirier, Clement, Brialj ct 1 utile co- rier, Clemens<yM< ?, et noster Brial, opération de ce demrer nous est at- qui quàm assiduam ibi utiiemque testée par des. registres où se lisent, à operam contulerit, testantur asservati a ij
