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asuprrawkte yarstforat fa* pmi» 4toék,.ràâ demi*»* : par exemple, il A*epmt jamaia indiquer k lk« oû »L<tev«k»vmr kit hamapg» de son comté iPhilippe-Auguste. Qale tnçowquinit- ana iwatifa pif wfaekkid» ftwn, ^>i hrwdt don»* un sauf-opoduit ; «an», n chemin, le feu* Bsudouia s’esquiva, se déguisa, fat atrété «a Bourgogne et amené à Jeanne, qui le fit pendre en vertu d’un jugement tendu par tes. Pane de Flandre. La Priocease publia qu !il avoit, avant de mourir, avoué sa fourberie. On n’en voulut rien croire ; on soutint, mi contraire, que ica tortures ne lui avoienl arraché aucune rétracte* lion. La Comtesse étoit donc accusée de parricide ; et l’on disoit que ce crâne de plus n avoit rira coûté à une femme ambitieuse, qui, pour régner seule, refusait Je payer la rançon de sou éposi Ferrand, et le labsoit depuis dix ans languir dans les fers. Ces opinions auraient prévalu , si Jeanne n’eût expédié à Andrioople des messagers qui se pressèrent de revenir et de raconter les miracles qui s’opéroirat au tombeau de Baudouin. La crédulité publique recueillit oes merveilleux récits qui retnplaçoient le roman de l’aventurier. Cependant Matthieu Pâris et d’autres Chroniqueurs parlent de cet événement en des termes qui en font encore, aux yeux de quelques modernes, une sorte de problème historique. . <evea,çw
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M priant iMefiiferregeta KUù appositi, «d posterions ùieptitsi’ml raponditse dicitur,imb wtiw’mrtw fac foc* clientelam Philippo-Augustoeaeet profettm, nequivisse ullam referte vocem. Ikum’nem adextrema regni confinia, daté commentât pubiicà fide, deduci jusserut Francia Kern ; serf t’ter agent pseudo-Balduinus suffUgit.ct, licèt ficto tibi alio vultu aut habitu, intra Burgundiam deprehensus, ad Joaimam addoctus est, gué imperante ac Bulgarum Parium decretum etnequente, suspendio estât» finioit. De scelere illum, asûeqvam moreretur, fuisse confessum, narrabat Jaatma, negabat incredula plebs : hominem ad dicta revocanda nunquam potuisse, admotis tormentis, adigi fama vul : garerai. Ipsa igitur Princeps de jiarricidio arguebatur, vtpote novum crimen facillimi’ ausa, qvue, ut sola, sine consorte, pro sua impotenti ambitione, rerum summd potiretur, sponsum Ferrmtdum prelio redimere supersedebat, jam ab annis decem in vinculis tabescentem. Omnes h<rc opinio pervasisse !, nisi missi properi Andrinopolim à Joanna eaocurwores, Belgium repetere patrataque ad Balduini. tumulum miracula enarrare frstirlassent. Quas plebis est credendi temeritas, plausu mètotmo portentosa h<ec mendacia excepta sunt, quasi labefactatam pseudo-Balduini fabulam suppletura. Hac de re tamen MaUheeus Paris aliique chronicorum sebrptores ita loquuntur, ut etiamnum in utramque partem disputabitis recenlionbus quibusdam videatur.
La guerre dtj Languedoc se ralluma : diverses Variis causis casihusve intermissum rursùs conjonctures 1 avoient suspendue. A la vérité , exarsit bellum Albigense. Coiverat quidem Louis VIII, dès son avènement, s’étoit ligué Ludovicus, inipto quo regnare ccrperat temavec Amaury de Montfort : il lui donnoit dix mille poris articulo, cum Amalrico de Monte for ti marcs d’argent pour lever des troupes contre le societatem, largitu» et decem marcarum ar- (iomle de Toulouse, Raimond VII ; et Aaaaury gentearum millia, quibus milites conscrivenoit de céder, «n 1224,* au Roi de France, berentur adversus lt ai mundum Septimum, ses prétendus droila à ce comté, sauf toutefois Tolosanum Comitem, dimicaturi ; modtique, la ratification de l’Eglisé, Mais Honorius, après anno 1224, A ma tri eus , quie sibi jura in avoir consenti à ce’t arrangement, parut incliner hunc comitatum arrogabat omnia Francorum pour Raimond, et préférer aux expéditions contre Regi addixerat, salvâ tamen, quant sibi Echu Prince chrétien le projet d’une croisade contre clesia vindicabat, fœderis hujus comprobandt fa infideles orientaux , propose par l’Empereur aut dirimendi potestate. Veriim Honorius, qui Frédéric II. Raimond se vit un instant favorisé à-U-fois par le Pape, par l’Angleterre, et même par l’archevêque de Narbonne, A nia
. -, , Arnacdd, jadis
l’ennemi le plus acharné de sa maison. Ainaury s’étoit résigné è traiter avec fa Comtes de Toulouse et de Foix, qoand tout-à-coup le souverain Pontife renouvela ses anatbèmes contre Rai- J , .. .r„ naond VII, sous prétexte que celui-ci avoit repris Amaldut, Narbonensis preesut, Tolosanis a I évéquette Viviers la villâ d Argent beres, enlevée Comtltbus quondam t n ftnt iss irmis. Cum a Raimond VI par les croisés. Romain, cardinal eorum harede , Comiteque Fuxensi ad de Saint-Ange, arrive en France, muni des pleins pactionem ventre coeperat Amalricus, cùm Tome XIX. j
primxnn utriusque votis annuerat, jam liaimundi partes videbatur amplecti ei bellis contra Christianum Principem susceptis crucesignatorum in Palcestinam expeditionem anteponere, ab Imperatore Friderico Secundo rogatam. Aliquantisper Raimundo simul faverunt Romana sedes, Angliaque, ct ipse
