étaient toujours dans des plaines à accès facile ou près de l’eau, mais cependant isolés dans des champs, loin des centres actuels. (Cela est sans signification, puisque j’ai appris, depuis mon retour à Séoul, qu’il y a, en plein village de Itchym, dans le Kan-Oueun-To, deux cents de ces monuments.)
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/3/34/Bourdaret_-_Note_sur_les_dolmens_de_la_Cor%C3%A9e_-_p4.jpg/500px-Bourdaret_-_Note_sur_les_dolmens_de_la_Cor%C3%A9e_-_p4.jpg)
La dalle supérieure est en général très épaisse (0m80) et n’est guère plus grande que la chambre.
Les autres dolmens sont du même type, à dimensions peut-être moindres, surtout la hauteur au-dessus du sol. En somme, ces dolmens me paraissent intacts — inconnus des chercheurs de trésors — (qui ne sont pas des Coréens qu’arrête la superstition). Le peu de temps dont je disposais ne m’a pas permis de faire des fouilles, mais j’espère revenir à Sune-Sane-Hi et faire de ces monuments l’étude qu’ils méritent, tant au point de vue de leur contenu qu’au point de vue du folk-lore.