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je me mis à trembler, me reprochant ce moment de vertige, où, triomphant de mes hésitations, j’avais laissé entendre ce mot fatal : « Oui ! je l’accepte pour époux ! »
Oh ! mères, que vous êtes coupables, vous qui cachez à vos filles jusqu’au soupçon de la réalité !
Te souvient-il de cette foule qui m’a semblé innombrable à la cérémonie religieuse ? Ces chants pieux, l’autel éblouissant, le parfum enivrant de l’encens et des fleurs !… que sais-je ? mes voiles, ma robe blanche…