exemple,
, ou, en changeant les signes des deux membres,
![{\displaystyle -\cos(a+b)=\mathrm {OQ=QH-OH=CK-OH} }](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/49c5f26e021c1936776b007b4139d2c83525c69d)
.
Au moyen des mêmes triangles semblables, on trouvera encore
, et
; on aura donc
, ou, en changeant les signes des deux membres,
![{\displaystyle \cos(a+b)=\cos a\cos b-\sin a\sin b}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/b8e8ae6b7068977145dd9beb99218974fb45b6ae)
.
Dans les formules relatives à
et
, l’arc b est toujours inférieur à l’arc a.
Le cas où le contraire aurait lieu n’appartient pas à la théorie de la résolution des triangles :
cette question sera d’ailleurs traitée d’une manière complète au chapitre XII.
En réunissant les formules trouvées, on a le tableau suivant :
xxxx(8)
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xxxx(9)
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36. Problème II. — Étant donnés le sinus et le cosinus d’un arc, trouver le sinus et le cosinus du double de cet arc.
Les formules (8) étant vraies quels que soient les arcs a et b, dont la somme ne surpasse pas 180°, on peut y supposer b égal à a, ce qui donne
xxxx(10)
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37. Problème III. — Étant donné le cosinus d’un arc, trouver le sinus et le cosinus de la moitié de cet arc.
L’arc a étant le double de l’arc
, si on remplace a par
dans