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Jours d’ouverture 256 nombre de lecteurs 3.599 nombre de communications musique 2,083 imprimés 7.82) total 9.904. Soit, en chiffres ronds, 13.000 communications, dont un tiers environ pour la musique. Les huit mille et quelques communications d’imprimés n’intéressent pas exclusivement l’histoire du théâtre mais nos recherches ont tout de même, dans ce chiffre, leur bonne part. Il faudrait d’ailleurs, pour se rendre un compte exact de leur activité, posséder une statistique analogue pour les autres bibliothèques, ce qui n’est guère possible, puisqu’elles ne sont pas spécialisées. Mais ces renseignements, tout incomplets qu’ils soient, permettent d’affirmer que le public ne se désintéresse nullement de l’histoire de l’art théâtral. Et cela nous est un précieux encouragement plus que jamais nous nous efforcerons de rendre service à ces travailleurs, cer"tains qu’ils viendront peu à peu grossir nos rangs et nous permettront ainsi d’étendre et d’améliorer notre action.

LE THEATRE EN PROVINCE AU XVIIe SIÈCLE. Dans les Mélanges Vianey (Paris, Presses Françaises, 1934, in-8°. p. 233 à 247). M. Henri Gaillot raconte, d’après les relations conservées à Florence, les voyages d’un prince héritier de Toscane, Cosme de Médicis, dans le midi de la France, pendant l’automne de 1669. A Vienne en Dauphiné, le 30 septembre, "sur l’invitation du Gouverneur, on termina la soirée au théâtre une troupe de passage jouait une comédie contre les médecins (En note La relation officielle dit « Opere francese il di cui soggetto fu il P~t’penAo delle mejMme